Neurofeedback : entraîner son cerveau au bien-être.
mer. 24 janv.
|7 Rue Albert Einstein
Tester une session de Neurofeedback®. Ce n’est pas un traitement médical, mais un entraînement pour votre cerveau. Il s’adapte à votre cerveau en temps réel, fournissant les informations nécessaires pour se réorganiser et fonctionner de manière optimale sur ses états bloqués et son bien-être.


Heure et lieu
24 janv. 2024, 15:00 – 16:00
7 Rue Albert Einstein, 7 Rue Albert Einstein, 77420 Champs-sur-Marne, France
Invités
À propos de l'événement
Neurofeedback permet d’apprendre au cerveau à se réguler pour améliorer son bien-être, sa concentration et son humeur. Elle pourra aussi vous aider à booster vos performances ou encore à mieux dormir.
Le concept du neurofeedback est né dans les années 60, après que des chercheurs ont découvert, grâce aux enregistrements réalisés par électroencéphalographie (EEG), qu’il était possible de modifier son activité cérébrale.
L’intérêt de cette technique est qu’elle repose sur le principe du renforcement positif : « Comme le patient doit chercher ses propres stratégies mentales pour atteindre l’objectif et qu’il “visualise” leur efficacité en temps réel, il réalise qu’il est capable de modifier son activité cérébrale et, ainsi, d’améliorer lui-même sa santé et son bien-être. »
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Le neurofeedback, ou comment contrôler son cerveau pour traiter des maladies
Neurofeedback cerveau
Publié par Emmanuelle Blanc | Mis à jour le 3 mars 2023 par Nastasia Montel
Experts : Dr Jean-Arthur Micoulaud-Franchi psychiatre et neuro-physiologiste, hôpital Sainte-Marguerite, Marseille ; Dr Olivier Pallanca psychiatre et neurophysiologiste, hôpital de la Pitié-Salpétrière, Paris.
Serait-il possible, en modifiant son activité cérébrale, de traiter des troubles neurologiques ou psychologiques (hyperactivité, épilepsie…) ? C’est ce que propose le neurofeedback, une technique appelée à se développer tant ses résultats sont prometteurs.
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Sommaire
Le concept du neurofeedback est né dans les années 60, après que des chercheurs ont découvert, grâce aux enregistrements réalisés par électroencéphalographie (EEG), qu’il était possible de modifier son activité cérébrale. Beaucoup d’études ont depuis été publiées, principalement aux États-Unis et en Allemagne, pour évaluer cette technique dans des situations concrètes.
Le neurofeedback, qu'est ce que c'est ? comment ça marche ?
Pour comprendre comment fonctionne le neurofeedback, il faut d’abord savoir que le cerveau émet des signaux électriques qui, selon leur fréquence, peuvent caractériser certains de nos états mentaux. Lorsque, par exemple, nous sommes dans un état calme et détendu, c’est la fréquence dans la bande alpha qui domine ; mais en état de vigilance et de concentration, c’est plutôt la fréquence dans la bande bêta.
Le principe du neurofeedback est d’apprendre, grâce à des exercices visuels ou auditifs, à “brider” certains de ces signaux et à en stimuler d’autres, selon l’effet thérapeutique recherché.
S’il s’agit d’un trouble du déficit de l’attention ou de l’épilepsie, l’objectif est d’augmenter l’activité cérébrale dans la bande fréquentielle bêta pour accroître la vigilance, dit le Dr Jean-Arthur Micoulaud-Franchi, créateur de l’électroencéphalographie (EEG) et du Biofeedback. À l’inverse, dans certains troubles du sommeil ou pour contrôler le stress, c’est la bande fréquentielle alpha qu’il faut amplifier.
L’intérêt de cette technique est qu’elle repose sur le principe du renforcement positif : « Comme le patient doit chercher ses propres stratégies mentales pour atteindre l’objectif et qu’il “visualise” leur efficacité en temps réel, il réalise qu’il est capable de modifier son activité cérébrale et, ainsi, d’améliorer lui-même sa santé et son bien-être. »
Comment se passe une séance de neurofeedback ?
Des électrodes, placées sur le cuir chevelu, enregistrent les signaux électriques émis par le cerveau, qui reflètent certains états mentaux dans lequel on peut se trouver.
Ces signaux sont numérisés par un appareil relié soit à un écran d’ordinateur si le programme d’entraînement utilise l’image (par le biais de jeux vidéo le plus souvent), soit à un casque audio s’il s’appuie sur le son (de la musique généralement), soit aux deux.
Par un travail mental ou cognitif, le patient doit réussir, en augmentant l’intensité de certains signaux et en en “bridant” d’autres, à faire évoluer en temps réel l’image sur l’écran (par exemple déplacer une montgolfière, assembler les pièces d’un puzzle, accélérer une voiture...) ou le son dans les écouteurs (par exemple faire baisser les aigus ou augmenter les graves d’un opéra).
Par essais et erreurs successives, aidé et guidé par un thérapeute formé à ces techniques, le cerveau va finir par trouver les meilleures stratégies mentales lui permettant d’atteindre l’objectif fixé.
Le neurofeedback efficace sur l'hyperactivité et l'épilepsie
De nombreuses études ont validé l’efficacité du neurofeedback comme thérapeutique complémentaire dans le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDHA), au point qu’il a été recommandé par l’Académie américaine de pédiatrie : « Il améliore nettement l’inattention et l’impulsivité, et, dans une moindre mesure, l’agitation », rapporte le Dr Micoulaud-Franchi.
Il donne aussi de bons résultats sur les épilepsies résistantes aux médicaments : « Des études ont montré que cette technique diminuait la fréquence des crises chez deux tiers des patients. »
Le neurofeedback, une piste pour l'insomnie, l'autisme, la dépression…
Plusieurs études ont montré une certaine efficacité du neurofeedback chez des personnes souffrant de dépression. Une étude de l’Institut de Psychiatrie, Psychologie & Neuroscience du King’s College de Londres suggère que cette méthode pourrait "atténuer les symptômes et aiderait à lutter contre les sentiments de culpabilité chez les personnes souffrant d’un trouble dépressif majeur (TDM) non-anxieux", selon la Fondation pour la recherche sur le cerveau (source 1). Selon le Dr Roland Zahn, chercheur principal de l’étude, « les participants utilisant le neurofeedback ont démontré une réduction significative de leurs symptômes de dépression, la rémission de ces symptômes était associée à une augmentation de l’estime de soi ».
Les résultats sur l’insomnie sont plus modestes. « Mais si on réussit à établir des “profils” d’insomniaques et, pour chacun, savoir quels signaux doivent être renforcés, on pourra affiner la technique et, de là, obtenir peut-être de meilleurs résultats », dit le Dr Olivier Pallanca,psychiatre, spécialiste des pathologies du sommeil et des troubles attentionnels à la Pitié-Salpétrière, à Paris.
L’autisme fait aussi l’objet de recherches : « Elles partent du postulat qu’en améliorant l’attention des patients, on pourrait alors améliorer la communication et les interactions sociales. Mais cela reste à démontrer. »
En Allemagne, des chercheurs ont noté que le neurofeedback, en augmentant la fréquence séquentielle alpha, était associé à un état de calme, chez des sujets souffrant de stress post-traumatique.
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